Nos quatre fiers aventuriers fort heureux de leur dernière bastonnade se prélassaient à l'auberge lorsque Paolo Balianni vient les trouver. Son oncle avait de nouveau besoin d'hommes de main discrets et ... discrets pour aller à glaner quelques informations concernant la disparition d'un noble dans un patelin du coin (comprenez à moins de 5 jours de chevauchées). Nos compagnons, toujours prets à l'aventure et à s'enrichir spirituellement et pécuniairement, accepteraient la proposition.
Il partirent donc à cinq : le chevalier Aymeri de Meligny étant parti secourir une demoiselle en détresse (sans doute prisonnière d'un terrible dragon nain mutant unijambiste et aveugle), [OLIVIER] et [BVS] étant miraculeusement apparus dans le bureau de la compagnie Balianni. C'est au détour d'un chemin, lors du deuxième jour de voyage, qu'ils rencontraient une troupe de quatre [???] montée et prête à charger (et c'est là qu'ils commencèrent à regretter le départ de leur fier chevalier car aucun ne pouvait se battre à cheval). Le combat fut rapide et brutal (bref, comme on les aime) : Paolo Balianni mis fin à l'existence d'un de leur adversaire en le perçant d'un trait d'arbalète aussi douloureux pour ce dernier que chanceux pour notre barde; Jean-Jacques en éventra un avec toute la délicatesse qui lui est propre; Baldân en broya deux (et un cheval) avec autant de finesse que d'habitude. [OLIVIER], quant à lui, préféra rester à l'écart : son statut de voleur ne lui permettant pas de se battre (bien qu'il fit mine d'essayer de tirer quelques flèches en direction tantôt du ciel, tantôt du sol) et [BVS] jouant la carte de la modestie, regarda les jeunes novices se débattre des adversaires qui, décidément, ne méritaient pas d'être tué par notre compagnon.
Ils arrivèrent dans le village de Morphons pour une enquête qui ne s'annonça pas des plus faciles : le baron et sa famille ont été enlevé corps et bien alors que le restant des occupants du donjon furent massacrés et laissés sur place. De nombreux corps de gardes, servants et autres ayant été retrouvés sans qu'aucun corps advresaire ne fut découvert laissa les habitants de se paisible village en proie aux pires spéculations.
Un vortex temporel apparu alors dans le ciel, c'est alors que [BVS] et [OLIVIER] disparurent dans le lointain et Aymeri de Meligny apparu (comme par enchantement) en arumure et à cheval sur la place du village.
Ni la tarverne, ni la caserne, pas même la fouille méthodique du donjon ne permirent de déloger le moindre indice. Ceci ormis un bout d'étoffe trouver dans le cheminée de la grande salle. Ce bout d'étoffe semblant être une pièce arrachée à un vêtement de femme. De plus, par une illumination soudaine de Jean-Jacques, nos aventuriers fouillèrent le toi sur lequel ils découvrirent un bou de tissu qui semblait appartenir à un tapis.
Deux jours d'enquête intensive ne permirent pas de trouver le moindre indice matériel supplémentaire mais guidèrent nos compagnons vers la ville de [???] où pourrait se trouver, selon les rumeurs du coin, le baron de [??] adversaire politique reconnu de notre baron disparu. Après un voyage sans aucun événement nos fiers aventuriers arrivèrent dans la sympathique bourgade.
C'est alors qu'une (terrible) division s'opéra dans le groupe : les avis divergèrent quant à quel marchant de tapis (terme propre) aller se renseigner Aymeri de Meligny suggéra le plus naze alors que Paolo Balianni et Baldân suggéreraient le plus respecté car devant posséder de plus grandes connaissances. Il fut finalement décidé de donner raison au second groupe et d'aller voir le plus noble et le plus riche marchant de la ville. Paolo Balianni de part son passé, sa connaissance, sa culture et ses relations fut, en toute logique, désigner pour mener la discussion qui, finalement, ne mena à rien. Le marchant reconnaissant l'étoffe et sa probable origine mais sans nous indiquer qui pouvait posséder ce genre de tapisserie assez luxueuse.
Notre groupe (en proie au doute du fait que toutes les pistes... non bourrines n'avaient rien donné) décida de faire le pieds de grue devant la maison du barron [??]. C'est à la nuit tombée qu'ils purrent apercevoir un chariot qui sorit de la maison. Après une filature du chariot, qui mena dans le quartier des bouchers, il purent apercevoir ce dernier rentrer dans un entrepot. Trois des personnages enterrent discretement dans l'entrepôt alors que Aymeri de Meligny resta dehors (son armure de platte qu'il avait emporté faisait « un peu » de bruit).
A COMPLETER
Il partirent donc à cinq : le chevalier Aymeri de Meligny étant parti secourir une demoiselle en détresse (sans doute prisonnière d'un terrible dragon nain mutant unijambiste et aveugle), [OLIVIER] et [BVS] étant miraculeusement apparus dans le bureau de la compagnie Balianni. C'est au détour d'un chemin, lors du deuxième jour de voyage, qu'ils rencontraient une troupe de quatre [???] montée et prête à charger (et c'est là qu'ils commencèrent à regretter le départ de leur fier chevalier car aucun ne pouvait se battre à cheval). Le combat fut rapide et brutal (bref, comme on les aime) : Paolo Balianni mis fin à l'existence d'un de leur adversaire en le perçant d'un trait d'arbalète aussi douloureux pour ce dernier que chanceux pour notre barde; Jean-Jacques en éventra un avec toute la délicatesse qui lui est propre; Baldân en broya deux (et un cheval) avec autant de finesse que d'habitude. [OLIVIER], quant à lui, préféra rester à l'écart : son statut de voleur ne lui permettant pas de se battre (bien qu'il fit mine d'essayer de tirer quelques flèches en direction tantôt du ciel, tantôt du sol) et [BVS] jouant la carte de la modestie, regarda les jeunes novices se débattre des adversaires qui, décidément, ne méritaient pas d'être tué par notre compagnon.
Ils arrivèrent dans le village de Morphons pour une enquête qui ne s'annonça pas des plus faciles : le baron et sa famille ont été enlevé corps et bien alors que le restant des occupants du donjon furent massacrés et laissés sur place. De nombreux corps de gardes, servants et autres ayant été retrouvés sans qu'aucun corps advresaire ne fut découvert laissa les habitants de se paisible village en proie aux pires spéculations.
Un vortex temporel apparu alors dans le ciel, c'est alors que [BVS] et [OLIVIER] disparurent dans le lointain et Aymeri de Meligny apparu (comme par enchantement) en arumure et à cheval sur la place du village.
Ni la tarverne, ni la caserne, pas même la fouille méthodique du donjon ne permirent de déloger le moindre indice. Ceci ormis un bout d'étoffe trouver dans le cheminée de la grande salle. Ce bout d'étoffe semblant être une pièce arrachée à un vêtement de femme. De plus, par une illumination soudaine de Jean-Jacques, nos aventuriers fouillèrent le toi sur lequel ils découvrirent un bou de tissu qui semblait appartenir à un tapis.
Deux jours d'enquête intensive ne permirent pas de trouver le moindre indice matériel supplémentaire mais guidèrent nos compagnons vers la ville de [???] où pourrait se trouver, selon les rumeurs du coin, le baron de [??] adversaire politique reconnu de notre baron disparu. Après un voyage sans aucun événement nos fiers aventuriers arrivèrent dans la sympathique bourgade.
C'est alors qu'une (terrible) division s'opéra dans le groupe : les avis divergèrent quant à quel marchant de tapis (terme propre) aller se renseigner Aymeri de Meligny suggéra le plus naze alors que Paolo Balianni et Baldân suggéreraient le plus respecté car devant posséder de plus grandes connaissances. Il fut finalement décidé de donner raison au second groupe et d'aller voir le plus noble et le plus riche marchant de la ville. Paolo Balianni de part son passé, sa connaissance, sa culture et ses relations fut, en toute logique, désigner pour mener la discussion qui, finalement, ne mena à rien. Le marchant reconnaissant l'étoffe et sa probable origine mais sans nous indiquer qui pouvait posséder ce genre de tapisserie assez luxueuse.
Notre groupe (en proie au doute du fait que toutes les pistes... non bourrines n'avaient rien donné) décida de faire le pieds de grue devant la maison du barron [??]. C'est à la nuit tombée qu'ils purrent apercevoir un chariot qui sorit de la maison. Après une filature du chariot, qui mena dans le quartier des bouchers, il purent apercevoir ce dernier rentrer dans un entrepot. Trois des personnages enterrent discretement dans l'entrepôt alors que Aymeri de Meligny resta dehors (son armure de platte qu'il avait emporté faisait « un peu » de bruit).
A COMPLETER